Nos pensées impactent la structure de notre cerveau ainsi que notre bien-être et notre santé. Elles impactent également à plus ou moins long terme notre environnement !
Voyons cela de plus près… et commençons par identifier comment notre cerveau fonctionne.
Notre cerveau se développe au fil du temps, de notre vie in-utero jusqu’à environ nos 25 ans, pour ensuite évoluer toute notre vie. C’est ce qu’on appelle la plasticité cérébrale.
I. Plasticité cérébrale
1. Nous percevons le monde et la vie via nos sens, et l’interprétation que nous faisons des expériences vécues, notamment durant nos 9 premiers mois de vie, impacte la construction de nos connexions synaptiques (liaisons entre nos neurones) et façonne ainsi notre rapport à Soi, au Monde et à la Vie.
2. À 2 ans et à l’adolescence, deux grandes phases d’élagage synaptique ont lieu et seules les autoroutes dans notre cerveau sont « sauvées », les chemins de traverse, les petites routes boisées, les nationales et départementales sont tout simplement supprimées. Notre cerveau s’est naturellement spécialisé !
3. À 25 ans, notre cerveau est « mature » et notre façon de fonctionner est déjà bien déterminée. Pensées, émotions et comportements étant intimement liés, nous agissons le plus souvent « compulsivement » et « malgré nous » en fonction de notre propre structure/système de neurones connectés.
Tout au long de notre vie, plus une expérience est répétée, plus la connexion synaptique est renforcée. Pour plus de détails, lire l’article 「Croyances et Réalité」
Spécificités liées à notre HyperSensibilité
HyperSensoriels par définition, nous nous sentons très souvent, et ce dès le plus jeune âge, en décalage… Constater qu’on réagit différemment de sa famille et de ses « amis », ne pas comprendre son entourage et son fonctionnement, se faire étiqueter, critiquer et parfois malmener ou humilier… tout cela engendre souvent l’impression d’être anormal(e), incompris(e), et peut créer une certaine honte à être comme on est. Plus de détails dans l’article 「Décalage et perceptions」
Notre structure cérébrale liée à notre enfance est-elle une fatalité ?
Non… notre cerveau est malléable et nous pouvons donc changer de façon illimitée ! Il est d’ailleurs communément admis (en PNL notamment) que notre cerveau a besoin de 21 jours pour créer de nouvelles habitudes de pensée et de fonctionnement sur un item précis.
En découlent plusieurs bonnes nouvelles :
1 Notre fameux biais cognitif de négativité (tendance de notre cerveau à mettre plus en exergue le « négatif » que le « positif » dans nos vies) qui a permis notre survie/évolution depuis la nuit des temps peut donc être progressivement « reprogrammé » pour plus de joie et de sérénité. 2 Nous pouvons, sans date limite, panser nos blessures passées et reprogrammer nos croyances et pensées pour enfin vivre la Vie dont nous avons toujours rêvé…3 Nos connaissances actuelles en neurosciences nous permettent d’affirmer que notre cerveau ne fait pas la différence entre faits présents, futurs ou passés ni entre imaginaire et réalité ! Nous pouvons donc en « jouer » : décider en conscience de cultiver des pensées positives (se remémorer des souvenirs tendres et joyeux, imaginer des activités sympathiques avec ses proches, s’exercer à voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide, etc) augmente considérablement notre sécrétion d’ocytocine (hormone du lien/sérénité), sérotonine (hormone de la bonne humeur), et dopamine (hormone du plaisir/motivation). Si nos pensées joyeuses provoquent un fou rire, nous sécrétons alors aussi des endorphines (hormone du plaisir) !
En résumé, lorsque nous pensons « positif » nous créons ou renforçons de nouvelles connexions synaptiques favorisant à leur tour plus de « positivité » et inondons notre corps d’hormones favorables à notre bien-être et notre santé ♡
II. Impacts de nos pensées sur notre environnement
Comment nos pensées pourraient-elles avoir un impact sur notre environnement, autrui et notre vie en général ?
Grâce au composant n°1 de tout être vivant : l’eau.
Depuis des années, des chercheurs de différents continents comme Masaru Emoto et Konstantin Korotkov ont exploré l’impact qu’avaient musiques, mots, photos, émotions et pensées sur l’eau. Leur objectif était de démontrer, par des expérimentations scientifiques, que l’eau avait une « mémoire ». Leurs recherches se basent sur l’observation de photographies de cristaux d’eau exposée au préalable à ces différents « stimuli ». Vidéo « Le pouvoir secret de l’eau » :「ici」.
Il en ressort que musiques, mots, photos, émotions et pensées sont « porteuses » d’énergie, soit « positive », soit « négative », et influencent grandement la forme des dits cristaux d’eau analysés.
Or, notre corps est composé d’environ 60% d’eau ! (le pourcentage dépend de l’âge, du sexe et de la morphologie de l’individu) La flore et la faune sont également concernés.
Nos pensées à répétition ne se matérialisent donc pas seulement dans notre cerveau via notre réseau de connexions synaptiques mais elles sont également « porteuses » d’énergie… une énergie qui pourrait, à plus ou moins long terme, impacter l’eau de nos propres cellules mais aussi celle de nos proches les plus « exposés ».
Nos propres cellules ~ Ne dit-on pas que la pratique régulière de la gratitude augmente notre propre vibration énergétique, alors que la peur la fait chuter ?
Végétaux ~ Ne dit-on pas que prendre soin de nos plantes avec amour booste leur croissance ? Ce ne sont pas nos mots doux à proprement parler qui les font évoluer, mais plutôt l’intention/l’énergie « positive » derrière les mots employés…
Animaux ~ Qui n’a pas observé, au moins une fois dans sa vie, un animal de compagnie aussi déprimé que son humain de compagnie ? Les animaux ne « comprennent » pas « littéralement » tout notre vocabulaire, mais ils « captent » de diverses manières nos énergies. A noter le cas particulier du chat, connu pour capter les énergies négatives et les neutraliser.
Nouveaux-nés ~ Sans parler des tout-petits, véritables éponges énergétiques, qui ressentent tout ce qui se passe autour d’eux, sans même un mot prononcé… Les neurones miroirs sont très clairement impliqués… Mais si un nourrisson, composé de 75% d’eau et à proximité quasi totale de son parent pendant des mois durant, pouvait aussi « corporellement engrammer » les pensées de stress incessantes de son parent débordé?
Entourage ~ Chez les plus âgés et notamment chez les adultes, pensées, ressentis, mots et comportements sont intrinsèquement liés : des pensées positives impliquent des ressentis agréables, et favorisent conversations et comportements positifs envers autrui ! Des pensées noires « plombent » l’ambiance et ternissent nos relations !
Et ainsi de suite…
Ce que nous « envoyons » nous revient d’une certaine manière tel un « boomerang énergétique« . Plus nous cultivons le « positif », plus le « positif » s’installera « naturellement » dans nos vies, telle que nous l’enseigne la fameuse loi de l’intention/attraction.
Nous sommes tous, d’une manière ou d’une autre, énergétiquement connectés. Nos pensées sont de puissantes énergies créatrices. Tout est vibration. Tout est énergie.
Il est donc primordial de prendre conscience de nos pensées et de s’exercer, tant que peu ce faire, à voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide… et à éviter toutes sources de “négativité”… tout en accueillant et vivant pleinement toutes nos émotions… surtout en tant qu’ Hypersensibles ♡
Anne-Gaëlle
Psst : Oui, Ԑliza est mon 2ème prénom utilisé pour ce blog perso pour des raisons d’esthétique et de simplicité !
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2 Avis
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Super article
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Auteur
Merci infiniment pour votre retour 💛
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