Produits : Comment décrypter ?

Produits : Comment décrypter ?

De nos jours, les produits proposés ne sont plus ce qu’ils étaient.

Sans lancer le débat « Pensez-vous que c’était mieux avant : cliquez 1 pour OUI, cliquez 2 pour NON », que je trouve personnellement sans intérêt, il est vrai que trouver un taux notable de sucres dans la majorité des produits salés est quelque peu déstabilisant, sans compter les OGM, pesticides, conservateurs et colorants cancérogènes/cancérigènes, perturbateurs endocriniens, et j’en passe… 😳

Nous vivons dans une société occidentale hyperconnectée qui, croyant bien faire, au nom du progrès, s’est développée sans vision (assez) long terme autour de la surconsommation et de l’immédiateté. Le fait est que nous avons peur de manquer et avons besoin de tout contrôler. Pour moi, nous perdons peu à peu la vraie saveur des rapports humains, la vraie saveur des produits de la nature, la vraie saveur de la Vie.

Ma vision personnelle est que : « ce qui est fait est fait » et que « nous pouvons y remédier, chacun•e à son niveau ». Certains s’engagent en politique, d’autres dans des lobbies divers et variés. Personnellement, j’ai choisi la résilience par la Consommation Éveillée.

Certains diront que consommer Bio est LA réponse assurée. Je n’en suis pas convaincue et pourtant, je consomme Bio quand j’estime que c’est certainement mieux pour ma santé. Mais il y a maintenant quelques années, une expérience avait été menée sur la teneur en pesticides dans les cheveux de plusieurs célébrités. Nicolas Hulot, fan incontournable du Bio depuis des années, avait lui aussi des pesticides dans son organisme. Certes le taux était bien moins élevé que pour les autres participants, mais son corps en avait tout de même stocké. Plus récemment, une étude menée par 60 millions de consommateurs démontre que l’alimentation Bio, même si l’intention est bonne, ce n’est pas « tout bon, tout beau, tout bio ». 「Plus de détails à venir」

D’autres diront de limiter notre consommation de produits transformés. Je suis d’accord, et c’est ce que je fais, mais cela ne suffit pas pour éviter certaines substances toxiques dans les denrées alimentaires de base ou dans les cosmétiques.  「Plus de détails à venir」

Consommer sans risque s’apparente désormais à une vraie épreuve du combattant, pour laquelle temps et dextérité sont vivement conseillés !

Comment décrypter ?

A date, j’utilise deux sources d’informations pour l’alimentaire et les cosmétiques :

L’application「Yuka」 disponible gratuitement sur smartphone est facile à consulter partout où vous serez. L’accès gratuit permet de scanner le code barre d’un produit (alimentaire ou cosmétique) et le tour est joué ! L’application vous donne les ingrédients composant le produit choisi, alerte sur la potentielle ou réelle toxicité, et propose, le cas échéant, des solutions alternatives au produit scanné.

Pour les produits cosmétiques et les additifs alimentaires, si vous n’avez pas le produit sous la main ou si le code barre était sur l’emballage et que vous l’avez jeté, pas de panique ! En tapant dans votre moteur de recherche internet « nom du produit ingrédients » et en sélectionnant le site UFC que Choisirvous trouverez des informations similaires à Yuka. Vous pouvez aussi vous rendre directement sur la page du dossier 「Comparatif Substances toxiques dans les cosmétiques et, en tapant le nom du produit ou le code barre, trouver ces mêmes informations gratuitement. Pour les additifs alimentaires, c’est par ici !Évaluation additifs alimentaires

Une applicationest désormais téléchargeable : QuelCosmetic. A venir très bientôt une banque de données pour produits ménagers.

Ma méthode ?

A partir des informations ainsi récoltées, j’analyse si la composition des produits m’est ou non adaptée. Je ne m’arrête pas au classement de Yuka (excellent, bon, mauvais, médiocre) ni aux allergènes mentionnés (n’étant pas particulièrement allergique). Par contre, je bannis autant que peut se faire les OGM, les pesticides chimiques, et toutes les substances identifiées comme perturbateurs endocriniens ou cancérogènes/cancérigènes, suspectés ou avérés. Je vous en dis plus sur mes choix de consommation dans un prochain article… et comptez sur moi pour mettre à jour cet article avec mes futures trouvailles !

De nos jours, les produits proposés ne sont plus ce qu’ils étaient, mais il est possible de décrypter afin de mieux consommer, et cela relève de notre responsabilité. ♡

Anne-Gaëlle

Psst : Oui, Ԑliza est mon 2ème prénom utilisé pour ce blog perso pour des raisons d’esthétique et de simplicité !

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